Justice !
13 septembre 2015 à 8:09,
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Seigneur, si tendre l'autre joue c'est rendre un bien pour un malun grand tumulte en nos cœurs en appelle à ton secours car
"Il est proche, Celui qui me justifie".
Vierge Marie, avec vous nous invoquons la Toute Puissance de la Croix du Christ. Avec vous nous intercédons, Mère des hommes, pour délivrer la postérité d'Abel des successeurs de Caïn, brisant avec l'aide de tout les archanges la chaîne solide de haine aux maillons de cruauté qui donne, au lieu de lait à nos petits, du sang de la Bête, à téter.
Dans une grande volonté d'amour, nous prions pour la Paix.
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Livre d'Isaïe 50,5-9a. - 13 septembre 2015 à 8:16
Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé.
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.
Il est proche, Celui qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ? Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi !
Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ; qui donc me condamnera ?
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.
Il est proche, Celui qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ? Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi !
Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ; qui donc me condamnera ?
A l'heure où, impuissants, nous regardons nos gouvernants organiser l'invasion de notre pays sans aucun discernement, n'ayant pour arme que la prière pour la France et une pétition pour qu'a minima soit respectée une préférence pour les minorités religieuses, il faut tourner son regard vers la Syrie, où les chrétiens depuis 3 ans vivent un véritable calvaire. Une rétrospective désolante sur ce que nos frères chrétiens syriens vivent dans leur pays dévasté. Un article à lire en entier sur le site Islam et vérité, et dont voici des extraits :
[...] "Restés jusqu’alors en dehors du conflit, les chrétiens de Sadad furent, en novembre 2013, victimes du plus important massacre depuis celui perpétré dans l’église Notre- Dame du Salut à Bagdad en 2010. Située à 160 km au nord de Damas, Sadat est une petite ville de 15 000 habitants, composée en majorité de chrétiens syro-orthodoxes, qui comptait alors 14 églises et un monastère. Investie par les milices islamistes pendant une semaine, 45 personnes y furent exécutées et jetées dans des fosses communes ; 1500 familles retenues en otage et utilisées comme boucliers humains ; plus de 2 000 prirent la fuite dans les conditions qu’on imagine. Quand la ville fut libérée par l’armée gouvernementale, la France et l’Europe sont restées muettes.
Décembre 2013. Dans le Kalamoun, à 60 km au nord de Damas, Maaloula tombe aux mains des terroristes qui font irruption en hurlant : « Nous venons libérer Maaloula des croisés et de ceux qui adorent la croix ». Les rebelles exigent que les habitants se convertissent à l’islam au cri de « Aslim taslam », c’est-à-dire : « Deviens musulman tu as la vie sauve » (c’est alors que même dans cette éventualité, considéré comme apostat, il n’échappera pas à l’exécution) et, pour montrer leur détermination, décapitent plusieurs personnes dont une femme... Du couvent de Sainte Thècle qui abrite 40 religieuses, ils enlèvent treize moniales dont la mère supérieure. En soutenant les rebelles, la France cautionne de tels actes.
Racca, à 160 km à l’est d’Alep, avait été « libérée par les révolutionnaires » (en 2012) qui ne se contentèrent pas de décapitations, mais accrochèrent les têtes coupées sur des fils électriques ; parmi elles, celle d’un enfant de 7 ans. Confisquant les biens et les maisons des chrétiens, transformant la cathédrale en bureaux pour la promotion de la charia, sans omettre les autodafés de Bibles et de livres liturgiques.[...]
Mars 2014, véritable purification ethnique à Kassab, avec la complicité du régime turc qui facilite le passage des islamistes par un bombardement préalable de la zone frontalière. Tous les chrétiens qui n’ont pu prendre la fuite sont massacrés, 80 tués dont 13 décapités ; les trois églises horriblement profanées, les croix arrachées, les icônes souillées, les locaux et les écoles dévastés. La particularité de cette petite ville était d’être composée essentiellement de descendants des rescapés du génocide perpétré par la Turquie ottomane contre les chrétiens Arméniens en 1915.
Le Quai d’Orsay réagit dix jours après. Abjectement : « Nous suivons avec inquiétude la situation à Kassab où de nombreux habitants ont été contraints à la fuite. Nous condamnons les bombardements menés par le régime et appelons au respect par toutes les parties du droit international humanitaire. »[...]
On apprendra quelques jours plus tard que les personnes âgées qui n’ont pu s’enfuir vers Lattakieh, eux-mêmes descendants des survivants du génocide turc, ont été expulsées par les islamistes et, à leur insu, envoyées... en Turquie.
Enfant-chretiens
Cette photo aurait été postée sur plusieurs réseaux sociaux de djihadistes présents en Syrie avec la légende suivante : « Notre plus jeune otage des factions hostiles de Kassab ».[...]
Deux jeunes gens qui avaient refusé d’apostasier connaîtront un autre sort : ils seront crucifiés devant le propre père de l’un d’eux, lui-même mis à mort juste après. Les témoignages concordent : il ne s’agit pas de cas isolés. Dans des villes ou villages occupés par les rebelles, des Syriens chrétiens peuvent être décapités ou crucifiés sur un simple contrôle d’identité. Le choix qui leur est proposé est simple : la chahada (la profession de foi musulmane) ou la mort, avant d’être jetés dans un puits. Quelquefois, on se contente d’une rançon.[...]
Fin Août [2014]. Nous nous abstiendrons de montrer les photographies de cette fillette chrétienne violée et martyrisée par des islamistes saoudiens, ou d’une autre adolescente à la jeune poitrine arrachée à coup de dents, cas non isolés parmi les massacres odieux au cours desquels de nombreux enfants perdent la vie dans des conditions atroces.
Mi-septembre. A la nouvelle de la prise de Mossoul, l’évêque chaldéen d’Alep. Mgr Audo, déclare : « Nous vivons dans la hantise de l’arrivée des islamistes ». Les chrétiens fuient par milliers en direction du Liban, de plus en plus réticent à les accueillir.[...]"
Où sont-ils, ces chrétiens d'Orient martyrisés, parmi les foules qui déferlent en Europe, et dont tout montre qu'elles sont largement musulmanes ?